« AR MEN » en breton signifie la Pierre, c’est le nom donné à ce rocher de la chaussée de Sein.
La construction du phare a duré 14 ans.
La Bretagne est fortement balisée en raison de ses côtes dangereuses. Aujourd’hui les phares en mer ne sont plus gardés. L’allumage est géré par télécontrôle. Le phare à terre peut être gardienné, mais aussi visité.
« AR MEN » en breton signifie la Pierre, c’est le nom donné à ce rocher de la chaussée de Sein.
La construction du phare a duré 14 ans.
Le premier feu installé est un feu fixe secteur blanc et rouge. Le 10 novembre 1898, le feu est alimenté au gaz et sera automatisé le 7 février 1910. De nouveaux travaux permettent à ce feu d’être alimenté au propane le 27 août 1910.
Le phare de la Lande est situé au fond de la baie de Morlaix. Automatisé et télécontrôlé depuis Brest, le phare ne se visite pas.
Le phare du cap Fréhel sécurise le passage de la baie de Saint-Brieuc vers la rade de Saint-Malo
Le phare actuel est le troisième érigé sous les ordre de Jean Boyet à cet emplacement.
A l’époque des travaux de fortifications de côtes bretonnes, Vauban propose l’édification d’un tour. Ce premier phare construit en 1702 reprend les plans du Phare Le Stiff – Ouessant. Au départ, allumé uniquement l’hiver, en 1717 la marine décide de son allumage toute l’année. Sa portée passe de 15 à 21 milles.
Pour mettre en place une lentille de Fresnel et devant l’état de ce premier phare Léonce Reynaud décide la construction d’une nouvelle tour de 22 m de haut. L’allumage a lieu en 1847.
Suite au dynamitage du second phare le 11 août 1944, la vieille tour Vauban est remise en service le temps de la mise en service d’une nouvelle tour. Commencée en 1946, l’allumage a lieu en 1950
Le phare du Grand Léjon indique l’entrée de la baie de Saint-Brieuc. La construction du phare du Grand Léjon a eu lieu en 2 étapes. Une tourelle tronconique en maçonnerie est construite sur le plateau du Grand Léjon en baie de Saint-brieuc entre 1859 et 1962. La Marine demande un phare, en 1879 la tour est ré-haussée et le feu est allumé au sommet.
En savoir plus
Le phare des Roches Douvres est construit sur un plateau rocheux très dangereux pour la navigation et recouvert par la marée haute.
Le phare des Roches Douvres actuel succède à une phare métallique détruit par les Allememands en 1944. Cette tour haute de 57 mètres est allumée en 1869.
Les travaux de la seconde tour débutent en 1947 dans des conditions très difficiles.
1832 : Reconnaissance sur le plateau des platiers.
1862 : Début du projet de construire une tour de fer.
1865 : Autorisation du ministère pour la construction de cette tour.
1867 : La tour est montée et exposée à l’exposition universelle.
1868 – 1869 : La construction de la tour s’effectue avec des difficultés liées à l’état de la mer.
6 août 1869 : Le phare est allumé. Cependant les conditions de vie dans cette tour constituée de tôles de fer semblent difficiles. Le bruit et la température sont les inconvénients majeurs. Cloche de brume. Premier feu scintillant à éclats blancs toutes les 4 secondes, de premier ordre. Le combustible utilisé est l’huile végétale.
1875 : Le combustible utilisé est l’huile minérale.
1888 : Construction d’un pigeonnier.
Avril 1899 : feu à éclat blanc toutes les 4 secondes de premier ordre, focale 0,92 m. Le combustible utilisé est la vapeur de pétrole.
18 juin 1903 : feu à éclat blanc toutes les 4 secondes de premier ordre, focale 0,92 m sur cuve à mercure.
Août 1944 : Les troupes allemandes détruisent le phare.
Le phare de Rosédo se trouve dans le nord de l’île de Bréhat et indique la passe du Trieux.
Le phare des Héaux de Bréhat se situe à 4 km au Nord Ouest de l’île de Bréhat.
1950 : Le phare des Héaux de Bréhat est reconstruit et surélevé d’un étage. Feu d’horizon à 3 occultations toutes les 18 secondes, secteurs blanc, rouge et vert, optique de 0,70 m. de focale.
1979 : Le phare est électrifié et automatisé.
1982 : Le phare n’est plus gardienné.
1825 : La commission des Phares et Balises envisage la construction d’un phare sur le plateau rocheux des Héaux de Bréhat.
1832 : Un support provisoire en charpente est mis en place.
1833 : Cette structure très abimée par les tempêtes et les vagues menace de s’écrouler.
1834 : Le projet de construction du phare est confié à Léonce Raynaud.
1835 – 1840: La construction du phare débute avec difficulté. Les entreprises chargées de bâtir le phare se succèdent face à la difficulté du chantier.
1er Février 1840 : Le phare est allumé, le budget initialement prévu est littéralement dépassé. fixe blanc, optique de 0,92 m.de focale. Le combustible utilisé est l’huile végétale.
1880 : Le combustible utilisé est l’huile minérale.
10 octobre 1902 : Feu fixe blanc et rouge, optique de 0,70 m. de focale.
1905 : Le combustible utilisé est la vapeur de pétrole.
1930 : Feu d’ horizon à 3 occultations 18 secondes à secteur blanc-rouge-vert, optique de 0,70 m. de focale.
1940 : Le feu est éteint.
1941 : Installation d’un radiotéléphone.
Août 1944 : Les troupes allemandes font exploser la partie supérieure du phare.
1945 : Un feu provisoire sur pylône métallique est allumé.
1948 : Le nouveau phare est allumé. Feu directionnel scintillant blanc, focale 0,1875 m. Son mode d’éclairage est électrique.
15 octobre 1867 : Le premier phare de Bodic est allumé. Feu clignotant à éclipses de 4 en 4 secondes, de 4ème ordre, catadioptrique. Le combustible utilisé est l’huile végétale.
5 mars 1913 : : feu directionnel blanc à occultation toutes les 4 secondes, catadioptrique, diamètre 0,50 m. renforcement du feu. Le combustible utilisé est la vapeur de pétrole.
1939 : Feu directionnel blanc scintillant 1,5 seconde. Lentille de 1 panneau au 1/2. focale 0,1875 m. Le combustible utilisé est le gaz propane.
1944 : Le phare est détruit par les troupes allemandes.